samedi 29 octobre 2011

Castres se fait piéger par le Racing-Métro

 

Malgré leur domination sur l'essentiel de la rencontre, les Castrais ont dû s'incliner hier soir face au Racing. /Photos DDM, Emilie Cayre.
Malgré leur domination sur l'essentiel de la rencontre, les Castrais ont dû s'incliner hier soir face au Racing. /Photos DDM, Emilie Cayre.

                                  

Rugby. Top 14 (9e journée). Le Castres olympique s'est incliné hier soir sur son terrain 23 à 19 face au Racing-Métro.

On ne pourra pas leur reprocher de ne pas s'être battus jusqu'au bout pour essayer d'arracher une victoire qui pourtant leur tendait les bras. Le Castres olympique s'est cependant incliné hier soir sur sa pelouse de Pierre-Antoine 23 à 19 face au Racing-métro qui faute d'être brillant est resté lucide jusqu'à la dernière minute.

Pourtant on a vu des Castrais bien en place et opportunistes dès l'entame de match. Malgré une pluie qui tombait sans discontinuer et qui laissait présager un jeu minimaliste, les joueurs sud-Tarnais avaient l'intention de pratiquer un rugby complet prôné par les entraîneurs depuis le début de saison. Sauf que le réalisme francilien a un peu coupé court aux ambitions des Castrais qui confondaient parfois vitesse et précipitation selon la formule consacrée. C'est donc le Racing qui ouvrait le score à la 10e par une pénalité et enfonçait le clou 3 minutes plus tard par un drop. Un 6-0 sévère qui aura eu le mérite de réveiller le CO. Teulet récompensait une action castraise dans les 22 mètres adverses par une pénalité face au poteau. Un réveil de courte durée. Puisque sur un coup de pied de Kockott contrée, les Racingmen vont aplatir en coin. 13-3 au bout de 20 minutes de jeu. Blessés dans leur orgueil, les Castrais, à l'image de Kockott auteur d'une percée dans la défense adverse histoire de se faire pardonner, marquent dans la foulée. Masoe, en bon capitaine qui a sonné la révolte, ponctuait en effet une série d'actions dangereuses à la 26e. Les Castrais retrouvaient des couleurs et le goût des essais qu'ils n'avaient plus connu depuis 4 matchs.

Une pénalité de Romain Teulet juste avant la mi-temps ramenait les deux équipes à égalité 13 à 13. Un Teulet, de retour de blessures, qui va permettre au CO de prendre l'avantage dès les premières minutes de la seconde mi-temps en transformant deux pénalités au cours du premier quart d'heure suite à des hors-jeu des Franciliens qui souffraient face aux assauts castrais (19-13). Car l'équipe sud-tarnaise est revenue des vestiaires avec la ferme intention de ne pas laisser échapper la 8e victoire d'affilée tant espérée. Moins approximatifs, les bleus et blancs dominaient leur sujet. Mais les Racingmen ont su faire le dos rond et garder leur lucidité. Lors d'une de leurs rares incursions dans le camp castrais, ils passaient une pénalité (19-16).

La rencontre s'est alors équilibrée. Et les 5 dernières minutes ont été crispantes. Car on sentait les Franciliens reprendre du poil de la bête et profiter d'une baisse de régime des Tarnais pourtant dominateurs sur l'ensemble du match. Et à 2 minutes de la fin, le centre parisien Vakatawa, sur un exploit personnel, crucifiait le CO par un essai en coin. Un silence glacé s'abattait sur Pierre-Antoine et le Racing prenait l'avantage (19-23). Alors que la sirène avait retenti, les Castrais jetaient toute leur force dans la bataille pour arracher la victoire. Et ils ont été à deux doigts d'y arriver. En vain.

 Le CO devra se contenter d'un point de bonus défensif qui est vraiment le minimum au vu du match.


La Depeche

Labit : "Une mauvaise soirée"

Laurent Labit, entraîneur du CO, a qualifié cette défaite 23-19 face au Racing de "mauvaise soirée" où "le Racing a réussi le holp-up parfait". Il a également fortement critiqué l'arbitre de la rencontre Monsieur Péchambert en estimant que "le problème est qu"il ne fait pas son travail".

"On prend un premier contre d'entrée qui nous fait mal puis un second essai sur une touche pas trouvée parce que le buteur pensait que Lorée (le demi de mêlée du Racing-Métro, ndlr) était hors-jeu. L'arbitre laisse faire l'action. On prend 14 points sur contres et à la sortie, le Racing réalise le hold-up parfait. Il y a un gars au milieu qui est là pour faire son travail et le problème est qu'il ne fait pas son travail. On bosse des semaines entières et il y a des gens qui se mêlent au sport professionnel et qui ne le sont pas (sous-entendu l'arbitre Patrick Péchambert, ndlr). C'est une grosse", analyse-t-il après match.

RR

Le Racing-Métro stoppe l'hémorragie

 

Le Racing stoppe  - RUGBY - Top 14

Enorme exploit du Racing-Métro qui met fin à trois défaites consécutives en allant l'emporter à Castres (23-19) avec une équipe pourtant largement remaniée. Le CO connaît son premier revers de la saison à domicile. Les Tarnais récupèrent le point de bonus défensif.

On s'attendait à voir une jeune équipe du Racing-Métro se faire manger tout cru par la fougue du CO. C'est l'inverse qui s'est produit et ce dès les premières minutes. Les Franciliens démarraient la partie de la plus belle des manières en mettant de l'intensité dans leur défense. Les offensives tarnaises étaient stériles et c'est Sébastien Descons qui passait les trois premiers points de la partie (10e). Les Racingmen enchaînaient, Mathieu Lorée se mettait en position de drop aux 35 mètres après plusieurs temps de jeu. Son coup de pied faisait mouche (13e). Rory Kockott n'était pas dans un grand soir, il laissait Romain Teulet placer le ballon entre les perches après une première tentative ratée. Les hommes de Pierre Berbizier ne baissaient pas pavillon et ce sont eux qui inscrivaient le premier essai de la partie. Rory Kockott se faisait contrer par Le Roux, le troisième ligne récupérait le ballon et donnait à Descons qui filait à dame (20e). Mais Castres n'est pas sur le podium pour rien. Le CO répliquait dans la foulée. Deux mêlées successives faisaient plier une première ligne francilienne en difficulté. Masoe s'extirpait pour aplatir le ballon (25e). Le match était un peu plus brouillon, la pluie n'aidant pas les trente acteurs. Romain Teulet passait une dernière pénalité après un geste d'antijeu de Saubade qui dégageait volontairement le ballon en touche avec ses mains.


Le numéro de Vakatawa

Les Castrais revenaient sur la pelouse avec de biens meilleures intentions. Teulet bonifiait le travail de ses avants qui commençaient à dominer. Le CO prenait six points d'avance mais Gaëtan Germain était dans un grand soir. Il réussissait des pénalités importantes pourtant excentrées. L'arrière du Racing-Métro permettait à son équipe de rester dans la partie, les jeunes Ciel et Blanc s'accrochaient au point de bonus défensif. Puis arrivait l'éclair de génie de Vakatawa. Juan Imhoff réceptionnait un ballon et se forçait de ne pas le perdre lors du regroupement. Le Fidjien récupérait le cuir, tapait à suivre pour lui-même. Plus personne ne le reverra, il aplatissait le ballon sous les clameurs de ses coéquipiers (76e). Le baroud d'honneur des Castrais ne donnait rien après pourtant cinq minutes d'arrêts de jeu. Le CO préférait jouer à la main plutôt que de prendre les mêlées pour le plus grand bonheur du Racing.


Castres stoppe sa série

La joie des Franciliens à la fin du match prouve la teneur de l'exploit réalisé par les coéquipiers de Nicolas Durand, le centre de formation du Racing-Métro a été à la fête. L'équipe bis annoncée dans les médias a accompli une prouesse en allant chercher la victoire à Pierre-Antoine, un stade habituellement bien gardé. Les Racingmen reprennent des couleurs au contraire des Tarnais qui font la soupe à la grimace. Leur enchaînement de sept victoires consécutives s'est arrêté en chemin. Ils ont été à deux doigts de l'emporter mais la défense adverse a finalement tenu le coup. Les séries des deux équipes se sont inversées mais le CO reste encore largement devant le vainqueur du soir.


Rugbyrama - Romain POUJAUD

Les C'Ovalines ont collecté pour le rugby africain

Nicolas Durand, les représentantes des C'Ovalines et Michel Dhomps, président du CO./ Photo DDM, Br. M.
Nicolas Durand, les représentantes des C'Ovalines et Michel Dhomps, président du CO./ Photo DDM, Br. M.

Les C'Ovalines, association créée par les Femmes chefs d'entreprises du Tarn (FCE) pour intégrer dans la vie castraise les femmes de joueurs du CO à travers diverses actions, ont profité de la venue de Nicolas Durand, demi-de-mêlée du Racing Métro, hier soir pour lui remettre les nombreux équipements sportifs collectés lors du tournoi annuel de l'école de rugby du CO en avril dernier.

Le joueur francilien est en effet le président de l'association Aidra (Association internationale pour le développement du rugby en Afrique) qui a pour objectif de soutenir les petits clubs existants en Afrique notamment en apportant matériel et équipements aux jeunes. Les joueurs castrais Ibrahim Diarra et Marc Andreu sont d'ailleurs membres de cette association. Le Castres olympique, via son association, avait fait don de nombreux équipements sportifs pour cette bonne cause.


La Depeche

vendredi 28 octobre 2011

Castres-Racing-Métro (19-23)

(J9) : Castres-Racing-Métro (19-23), TOP 14 / 9EME JOURNEE, Top 14

A l'occasion du premier match de la neuvième journée du Top 14, le Racing-Métro 92 a réalisé une superbe opération en s'imposant sur la pelouse du co-leader, Castres. Les Franciliens remontent à la cinquième place du classement.


Rugby 365

mercredi 26 octobre 2011

CO / RM92



Le vendredi 28 octobre à 20h45 au Stade Pierre Antoine, Castres 2e reçoit le Racing Metro 92, 7e pour la 9e journée de Top14 Orange !
Le match sera diffusé sur Canal+ Sport !

Les arbitres :

P. PECHAMBERT
N. DATAS
P. GORBENKO
V. PRADERIE
J. TARTINI
H. DUBES


Source Lnr

mardi 25 octobre 2011

Le champ des possibles pour « PSA »





Le 1er décembre, Philippe Saint-André succèdera à Marc Lièvremont à la tête du XV de France. Si le « Goret » n'a pas encore évoqué sa politique sportive, les confirmations de la Coupe du monde et le réservoir de joueurs lui offrent beaucoup d'options. Revue d'effectif.


Incontournables 

Philippe Saint-André ne repartira pas de zéro le 1er décembre. Le futur sélectionneur peut compter à court et moyen terme sur un socle de joueurs expérimentés. Thierry Dusautoir (29 ans), le capitaine, meilleur joueur de l’année, sera du Tournoi des VI Nations sauf blessure. Comme Vincent Clerc (30 ans), Imanol Harinordoquy (31 ans), Nicolas Mas (31 ans), Pascal Papé (31 ans), Morgan Parra (22 ans), Aurélien Rougerie (31 ans), Dimitri Yachvili (31 ans) et Julien Bonnaire (33 ans). Mais parmi eux, certains ne pourront pas aller jusqu’à la Coupe du monde 2015.
 
 
Prolongés ?

Grands talents, Maxime Médard (24 ans) et Maxime Mermoz (25 ans) doivent devenir plus « tueurs ». Alexis Palisson (24 ans) aura l’occasion de confirmer à Toulon ses belles dispositions dans la dernière ligne droite de la Coupe du monde. Raphaël Lakafia (22 ans), le puissant troisième ligne du BO, et Jean-Marc Doussain (20 ans), pépite polyvalente à la charnière seulement entrevue en finale, sont de beaux espoirs pour le XV de France. Des espoirs, François Trinh-Duc (24 ans) et Louis Picamoles (25 ans) n’en sont plus. Mais ils ont besoin de constance. Dimitri Szarzewski (28 ans) et Fabien Barcella (27 ans) pourraient, eux, profiter des départs progressifs en première ligne pour s’installer un peu plus.
 
 
Retraités ?

Pour certains Tricolores, cette Coupe du monde a ressemblé à une tournée d’adieux. Mais aucun d’entre eux ne l’a encore confirmé officiellement. Lionel Nallet (35 ans) devrait raccrocher et se consacrer au Racing. Très peu utilisé, après un excellent premier semestre 2011 avec le Stade Toulousain, Cédric Heymans (33 ans) a, lui, un défi à relever à l’Aviron Bayonnais. Quant à William Servat, il a montré au pays du long nuage blanc qu’il restait l’un des meilleurs talonneurs du monde, si ce n’est le meilleur. Mais « la Bûche » aura 34 ans au début du mois de février. Un Tournoi et puis s’en va ?
 
 
Oubliés ?

Ils n’ont pas saisi leur chance en Nouvelle-Zélande et seront certainement soumis à la concurrence quand Philippe Saint-André se penchera sur ses premières listes. David Skrela (32 ans), blessé en début de Coupe du monde, et Damien Traille (32 ans) retrouveront-ils les Bleus ? Pour Luc Ducalcon (27 ans) et Guilhem Guirado (25 ans), les relatives carences du Top 14 à leurs postes sont susceptibles de leur donner une nouvelle chance. Fulgence Ouedraogo (25 ans), David Marty (28 ans) et Fabrice Estebanez (29 ans) devront convaincre « PSA » que Marc Lièvremont ne s’était pas trompé.
 
 
Repêchés ?

Les blessures et le large turnover de Marc Lièvremont les ont éloignés du groupe. Thomas Domingo (26 ans), le pilier clermontois, devrait néanmoins vite revenir, quand il sera à 100%. Testés mais sans plus, Wenceslas Lauret (22 ans), Marc Andreu (25 ans), Julien Arias (28 ans), Jérôme Porical (26 ans), Sébastien Tillous-Borde (26 ans), Lionel Beauxis (26 ans), Alexandre Lapandry (22 ans) et Yoann Huget (24 ans), actuellement suspendu, partent de plus loin. « PSA » sera aussi amené à s’interroger sur les présumés « caractériels », Florian Fritz (27 ans), Mathieu Bastareaud (23 ans), Julien Dupuy (28 ans) ou dans une moindre mesure Clément Poitrenaud (29 ans), ainsi que les anciens, Yannick Jauzion (33 ans) ou Sébastien Chabal (34 ans), qui a fait un appel du pied à son ancien coach à Sale, lundi dans le Moscato Show.
 
 
Lancés ?

« Vu le niveau de ces joueurs, on peut se dire que le Top 14 est de très bonne qualité » a discrètement glissé le futur sélectionneur. Une petite indication sur la continuité qu’il pourrait prôner dans les prochains mois. Mais « PSA » a peut-être remarqué quelques jeunes pousses. Les Racingmen Henry Chavancy (23 ans) et Jonathan Wisniewski (26 ans) débarqueront-ils rapidement chez les Bleus ? Les Toulousains Yoann Maestri (23 ans), Russlan Boukerou (21 ans) et Sylvain Nicolas (24 ans) peuvent-ils être des solutions d’avenir en deuxième et troisième ligne ? Comme les Clermontois Wesley Fofana (23 ans) et le tout jeune Jean-Marcellin Buttin (19 ans) à l’arrière ? Vivement 2012.
 
 
 
RMC

dimanche 23 octobre 2011

TOP14 Orange - Montpellier / Castres - Marc ANDREU


                                                           

Retrouvez la réaction de l'ailier du Castres Olympique, Marc ANDREU, après la victoire de son équipe à Montpellier 21/16. Le C.O., avec 30 points, partage le fauteuil de leader du TOP14 Orange avec l'ASM.

ICI : http://www.radio-rugby.com/interviews/2113-top14-orange-montpellier-castres-marc-andreu.html

Top 14. Castres : la tête sur les épaules


                                 Top 14. Castres : la tête sur les épaules


Le résumé. Un buteur en pleine forme, un adversaire commettant beaucoup de fautes de discipline et de maladresses, une défense parfaitement organisée et volontaire, cela a suffi à Castres pour décrocher une septième victoire consécutive (dont 3 à l'extérieur).

L'analyse. Même en se faisant surprendre en tout début de match, le C.O. a récité les leçons qui le maintiennent invaincu depuis 7 journées… En se servant habilement du pied : 31 pénalités réussies lors des quatre dernières rencontres.

La ligne de défense bien organisée autour de Cabannes et Baï a plié parfois sans rompre et les combattants de devant ne se sont pas consommés inutilement.

Montpellier n'avait pas les moyens, hier, de mettre vraiment en danger les Tarnais et s'est usé dans ses temps forts sans en avoir la récompense au tableau d'affichage.

Castres sait aussi jouer au ballon, il l'a montré en première période, mais les Tarnais ont surtout su protéger les acquis au pied et ce n'était pas une mince affaire.

Le fait. L'essai refusé à Rory Kockott, à la dernière minute de la première période. Le demi de mêlée castrais transperce le rideau local au sortir d'une touche et après feinte de passe. Il accélère dans le dos de la défense mais Tulou l'accroche, le tombe sans maintenir sa prise. Le N°9 se relève et file à l'essai… que M. Garcès refuse sous prétexte que le Castrais aurait été plaqué sans lâcher le ballon ! Dommage d'autant que Rory faisant preuve de fair-play était allé en personne expliquer à l'arbitre 8 minutes plus tôt que sa tentative de pénalité n'était pas passée alors que l'homme au sifflet avait demandé la vidéo déjugeant ses assesseurs. Dommage surtout car cet essai aurait certainement évité aux Castrais de rester jusqu'au bout sous la menace adverse.

L'essai. Le CO a été cueilli à froid. Après mêlée au centre consécutive au coup d'envoi, long coup de pied héraultais. A la réception Evans est isolé, les Montpelliérains prennent l'avantage et après deux rucks positifs, Gorgodze s'extrait du regroupement pour aplatir.

Les hommes. Paillaugue à la mêlée et Gorgodze ont tiré leur épingle du jeu du côté de Montpellier. À Castres, les jours se suivent et se ressemblent autour de Masoe. Du sérieux dans les airs avec Murray et au combat avec Capo Ortega. Wihongi et Coetzee prennent une très belle dimension en tête de mêlée et se sont bien comportés en défense. Derrière, Evans devra veiller à ne pas mettre son équipe en difficulté par des relances inconsidérées, mais c'est surtout la défense qui a fait preuve d'une étonnante efficacité.

Et maintenant. Le Castres Olympique reçoit vendredi (20 h 45) le Métro/Racing à Pierre-Antoine.


La Depeche

Montpellier-Castres: 16-21

Castres enregistre sa septième victoire de suite en s'imposant ce samedi sur la pelouse de Montpellier (21-16). Pour la quatrième fois consécutive, le CO n'a pas marqué d'essais mais Kockott a converti sept pénalités.


RR